De ses premières années à Montréal, Bruno Baillargeon a gardé un goût d’aventure.
Des aventures qui se sont déclinées en de nombreux métiers, matelot, charpentier, ébéniste, soudeur, entrepreneur, scénariste, réalisateur, monteur, caméraman, enseignant, producteur; des aventures qui se sont déclinées en études supérieures, il est titulaire d’un doctorat en littérature comparée; et qui se sont déclinées par la passion du cinéma où il se consacre plus particulièrement au cinéma, à l’écriture et à la réalisation de films de fiction et de documentaires, mais aussi d’interactifs, depuis plus de 20 ans.
Son plus récent documentaire, l’œuvre des jours, est un témoignage d’une profonde amitié avec un maître graveur, artisan, dans l’atelier qu’il partage avec deux autres artistes peintres graveurs.
Un ami qui est atteint d’une maladie grave.
Après avoir été honoré du Prix du jury étudiant pour le meilleur film lors de sa présentation en première aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), l’œuvre des jours, sera présenté parmi l’un des dix films en compétition internationale au festival Cinéma du réel à Paris et Bruno Baillargeon sera présent aux trois projections du film à l’occasion de cette 37e édition du festival qui a lieu du 19 au 29 mars.
Cinéma du réel est un événement annuel créé en 1979 au Centre Georges-Pompidou (Beaubourg) à Paris. C’est aussi l’un des plus prestigieux festivals voués au documentaire.
Raymond Desmarteau a joint Bruno Baillargeon à quelques heures de son envolée vers Paris où sera projeté le film l’œuvre des jours en compétition internationale.Écoutez
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