L’année avait bien débuté pour la jeune canadienne Eugenie Bouchard en Australie alors qu’elle atteignait les quarts de finale de ce premier tournoi de tennis du Grand Chelem pour 2015.
Un tournoi qu’elle a disputé sans un entraîneur attitré car son entente avec Nick Saviano s’est terminée à la fin de l’année 2014.
Après les Internationaux d’Australie, le clan Bouchard annonçait l’embauche du français Sam Sumyk qui a coaché Victoria Azarenka pendant 5 ans. Une athlète qui a déjà été la numéro 1 du tennis mondial féminin.
Les difficultés de Bouchard à s’imposer sur les courts de tennis depuis sa participation aux quarts de finale à Melbourne alimentent toutes sortes de débat.
Eugenie Bouchard traverse-t-elle un passage à vide, comme d’autres leaders du tennis ont vécu avant elle, avant de s’imposer comme athlète de premier plan dans ce sport ?
Y a-t-il des frictions entre elle et son nouvel entraîneur ?
Des questions que Maryse Jobin a posées à Louis Borfiga, vice-président du développement de l’élite à Tennis Canada.
Écoutez
Louis Borfiga :
« Je parlais avec Sam (Sumyk) hier, un entraîneur ce n’est pas un magicien, il faut lui laisser le temps de travailler » .
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