Nadia Bilodeau
Photo Credit: Gracieuseté du Festival Orientalys

L‘art sacré des danses orientales se perpétue jusqu’à Montréal

Nadia Bilodeau ondule et se déhanche comme savent si bien le faire les femmes d’Orient depuis des millénaires.

Emblème de la féminité, de la sensualité et de la vitalité, la danse orientale, dont on situe le berceau en Égypte, est issue du folklore et était traditionnellement exécutée par et pour des femmes.

Transmise de mère en fille, son style et son nom varient selon les régions.  Appelée sharqi,saïdi, baladi ou simplement danse du ventre, on la retrouve chez les peuples d’Asie et à l’est du bassin méditerranéen.

De nos jours, les danseuses égyptiennes sont considérées comme des prostituées, il est donc de plus en plus difficile de transmettre cette danse aux jeunes générations.

Si elle survit, c’est grâce à des passionnées comme Nadia Bilodeau, une danseuse montréalaise :

Écoutez

Nadia Bilodeau sera sur scène dans le cadre du Festival Orientalys de Montréal, le jeudi 23 juillet à 19 h et le samedi 25 juillet à 20 h 30.

Les caractéristiques de la danse orientale

Tout le corps bouge, pas seulement le bassin. D’ailleurs les danseuses font onduler des parties de leur corps indépendamment les unes des autres, que ce soit à un rythme lent ou saccadé.

Association québécoise de la danse orientale

Catégories : Arts et divertissements, International, Société
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