Nouvelle ère pour les vêtements intelligents alors que l’entreprise canadienne OMS implantée à Montréal et qui se spécialise dans ce genre de vêtement dévoile le soutien-gorge intelligent!
Ce soutien-gorge pour sportives capte et transmet vos principaux indicateurs biométriques et permets l’analyse de ces données par une simple application que vous pouvez télécharger dans votre téléphone intelligent.
L’entreprise montréalaise qui est un partenaire du détaillant américain Ralph Lauren commercialisait à ce jour principalement des chandails intelligents pour sportif.
Cette PME conçoit et vend en ligne depuis quatre ans ses chandails dits intelligents et dans lesquels donc sont insérés divers capteurs électroniques qui font la cueillette de données biomédicales.
Le saviez-vous
– Hexoskin est une autre PME montréalaise qui conçoit des vêtements intelligents et qui a récemment reçu un appui financier de 1,3 million du réseau Anges Québec qui réunit 175 entrepreneurs et personnes d’affaires d’expérience qui investissent dans des PME innovantes.
Ce n’est pas le premier soutien-gorge que l’on soutient être intelligent
Il y a deux ans, la firme japonaise de lingerie Ravijour disait avoir inventé un soutien-gorge portant le nom de « True Love Tester » qui pouvait s’ouvrir de lui-même, car il était sensible aux pulsations cardiaques.
Il se mettait à clignoter puis à s’ouvrir après que des capteurs aient analysé le rythme cardiaque de la femme qui le porte, et qu’ils aient déterminé que la courbe des pulsations correspondait à celle du désir amoureux.
Ce soutien-gorge n’a jamais été commercialisé cependant.
Le soutien-gorge nommé « True Love Tester » qui s’ouvre tout seul. AFP
Un soutient-gorge qui détecte le cancer?
Un an plus tôt, en 2013, une compagnie américaine disait avoir mis au point un soutien-gorge intelligent capable pour sa part de dépister le cancer du sein.
Selon la société First Warning Systems, ce soutien-gorge équipé de 16 capteurs de température pouvait potentiellement dépister la maladie plus de six ans avant qu’une mammographie ne soit capable de le faire.
La technologie reposait sur la mesure des variations de température dues à l’angiogenèse, le développement des vaisseaux sanguins qui accompagne celui de la tumeur.
Mais, aucune étude dans la littérature scientifique n’a pu prouver l’efficacité de cette technologie et les affirmations du fabricant.
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