Dans l’Empire du Milieu, les cirques ne manquent pas, on en compte des milliers.
Contrairement à ce qui se fait au Canada depuis 30 ans, il s’agit de cirques traditionnels où jongleurs, trapézistes et clowns partagent la scène avec des animaux.
La voie est donc libre pour les Cirques du Soleil et Éloize ainsi que pour la superproduction équestre Cavalia de montrer autre chose.
Déjà, le Cirque du Soleil, dont 20 % de l’entreprise sont détenus par le fonds chinois Fosun, prépare plusieurs projets en sol chinois dont la présentation de sa nouvelle création inspirée du film Avatar, Toruk, et la création d’une salle qui permettra d’accueillir un spectacle permanent dans la ville de Hangzhou, en Chine.
Autre troupe souhaitant conquérir le vaste marché de l’Empire du Milieu, le Cirque Éloize qui amorcera en juin une première tournée d’envergure de sa création Cirkopolis avec 40 spectacles dans 19 villes.
Ce spectacle, créé en 2012 a été vu dans 85 villes à travers le monde.
Les chevaux de Cavalia à Pékin
Rien du genre n’existe en Chine, voilà pourquoi l’entreprise québécoise Cavalia compte profiter de ce marché inépuisable de millions de spectateurs pour y présenter sa création éponyme.
À partir du 28 avril, 40 chevaux et une trentaine d’acrobates, de cavaliers et de musiciens en mettront plein la vue aux spectateurs présents.
Pour le président et directeur artistique de Cavalia, cette présentation n’est que le début d’un grand rêve de conquérir ce nouveau marché.
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