Jeunes filles secourues des mains de Boko Haram par des soldats nigérians, en mai 2015

Jeunes filles secourues des mains de Boko Haram par des soldats nigérians, en mai 2015
Photo Credit: Getty/AFP/EMMANUEL AREWA

Une initiative canadienne au service des jeunes nigérianes

En 2014, un 14 avril, 276 jeunes filles de la petite ville de Chibok, dans le nord-est du Nigeria, ont été enlevées par le groupe terroriste Boko Haram.

Seulement 57 ont réussi à se sauver, toutes les autres, 219, sont encore captives on ne sait où.

Deux ans plus tard, le groupe terroriste Boko Haram continue de semer la terreur, empêchant les jeunes d’aller à l’école, particulièrement les filles.

À Terre-Neuve, la province la plus à l’est du Canada, la réalité des Nigérianes retient l’attention

Originaire de ce pays d’Afrique de l’Ouest, situé dans le golfe de Guinée, Zainab Jerrett vit à Saint-Jean, la capitale de cette province, depuis 1991.  

Zainab Jerrett
Zainab Jerrett © ICI Radio-Canada

Mais elle s’inquiète pour sa mère, ses frères et ses sœurs qui vivent dans cette région ciblée par Boko Haram.

Pour venir en aide aux siens et aux  jeunes filles nigérianes qui ne vont plus à l’école par peur de se faire enlever, elle a fondé, avec l’aide de son église, la « We Care Foundation », qui amasse des fonds pour les aider.

Mme Jerrett veut ainsi les ramener sur les bancs d’écoles privées à l’abri du groupe terroriste.  13 jeunes filles ont jusqu’à présent repris les études grâce à cette fondation.

wecarefoundation

D’après un texte de Philippe Grenier/Radio-Canada

Catégories : Immigration et Réfugiés, International, Société
Mots-clés : , , , ,

Vous avez remarqué une erreur ou une faute ? Cliquez ici !

Pour des raisons indépendantes de notre volonté et, pour une période indéterminée, l'espace des commentaires est fermé. Cependant, nos réseaux sociaux restent ouverts à vos contributions.