Des femmes autochtones essuient leurs larmes.

Des femmes autochtones essuient leurs larmes lors du coup d'envoi de la Commission d'enquête nationale sur les femmes autochtones disparues ou assassinées à Ottawa début août.
Photo Credit: PC / Justin Tang

Début de guérison pour les femmes autochtones du Canada

Selon la vice-chef du Conseil de bande Uashat-Maliotenam, Virginie Michel, la mise sur pied de la Commission d’enquête nationale sur les femmes autochtones disparues ou assassinées est un pas vers la guérison.

Originaire de la communauté innue Uashat-Maliotenam, sur la côte nord du Québec, Virginie Michel croit aussi que cette période de guérison passe par la reconnaissance des conditions de vie difficiles des femmes autochtones et par un meilleur encadrement des enfants.

Travailleuse sociale de formation, Mme Michel reconnaît que les femmes devront davantage prendre leur place au sein des communautés des Premières Nations du Canada afin que leurs points de vue soient respectés et pris en compte dans les différentes instances décisionnelles.

Virginie Michel, vice-chef du Conseil de bande de la communauté innue Uashat-Maliotenam, répond aux questions de Maryse Jobin.

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Virginie Michel est vice-chef de la communauté innue Uashat-Maliotenam sur la côte nord au Québec. © Wapikoni Mobile

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Catégories : Autochtones, Politique, Société
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