« C’est une histoire de quête d’identité pour ce personnage d’Alice. Dans le roman, c’est Alice qui nous raconte l’histoire telle qu’elle s’est déroulée, tel qu’elle l’imagine. Nous avions pris l’option sur ce roman en 2004. À mon sens, c’est fulgurant comme histoire, c’est une œuvre essentielle. »
Marcel Giroux, producteur
Au départ, l’œuvre coup de poing « La petite fille qui aimait trop les allumettes » est un roman du regretté Gaétan Soucy, paru aux éditions du Boréal, raconte les tribulations de deux adolescents élevés seuls par leur père dans un manoir décrépi à la campagne. Bientôt livrés à eux-mêmes, l’un d’eux tente de perpétuer les règles absurdes édictées par cet homme mystérieux, tandis que l’autre est épris de connaissance et de vérité ; il découvrira bientôt son identité réelle et le récit de sa propre genèse.

Ed. Boréal
Paru en 1998, ce succès littéraire a été traduit dans une vingtaine de langues.
Avec ce roman Gaétan Soucy a atteint une renommée internationale.

Gaétan Soucy
(Radio-Canada)
Il a été lauréat du prix Ringuet de l’Académie des lettres du Québec et mis en nomination pour le prix Renaudot.
Du roman au film
« C’est une œuvre très forte en elle-même au niveau littéraire. Le défi, c’est d’en faire une œuvre cinématographique. Voilà pourquoi ça a pris tant de temps ».
Marcel Giroux
Simon Lavoie, réalisateur (GPA Films)
Écrit et réalisé par Simon Lavoie, le film met en vedette la jeune comédienne Marine Johnson, entourée par Antoine L’Écuyer, Alex Godbout, Laurie Babin-Fortin, ainsi que Jean-François Casabonne.
Raymond Desmarteau a joint le producteur Marcel Giroux sur le plateau de tournage du film La petite fille qui aimait trop les allumettes, quelque part au nord de Montréal.

Marcel Giroux (GPA Films)
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