Plus tôt cette semaine, la ministre des Affaires étrangères du Canada, Chrystia Freeland, évoquait la possibilité que le Canada soit l’objet de cyberattaques russes .
Le même jour le Canada réitérait son appui à sa mission de formation militaire en Ukraine en la prolongeant jusqu’en 2019.
Comme l’explique le spécialiste de l’Ukraine, Dominique Arel, Mme Freeland connait très bien l’économie politique et en particulier le secteur de l’énergie parce qu’elle a été correspondante, entre autres, pour le Financial Times en Russie.
Mais évidemment du point de vue russe c’est une grosse pointure Mme Freeland.
Maryse Jobin s’est entrenue à ce sujet avec Dominique Arel, titulaire de la Chaire d’études ukrainiennes à l’Université d’Ottawa.
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