En fin de semaine, une délégation canadienne s’est rendue à Paris pour s’assurer que l’Agence mondiale antidopage poursuive son travail à Montréal jusqu’en 2031.
Pourquoi cette visite? C’est que le contrat qui a installé le siège social de l’AMA et ses 85 employés à Montréal venait à échéance en 2021.
Des rumeurs persistaient quant à la possibilité que le comité exécutif de l’Agence mondiale antidopage veuille examiner d’autres candidatures en Europe.
C’est ainsi que Marc Garneau, ministre fédéral des Transports, Christine St-Pierre, ministre québécoise des Affaires internationales, et un représentant de Montréal International, se sont rendus à Paris pour faire valoir les avantages de garder les bureaux de l’AMA dans la métropole québécoise.
Une démarche qui a convaincu le comité exécutif de l’AMA de ne pas lancer d’appel d’offres en vue de trouver un nouvel endroit pour accueillir les bureaux de l’agence et de négocier un prolongation à Montréal jusqu’en 2031.

Christine St-Pierre :
« Nous sommes très ouverts à la négociation… Nous sommes convaincus que Montréal demeure l’endroit idéal pour l’agence. Voyons maintenant comment nous pouvons bonifier notre offre, et nous avons jusqu’à la fin novembre pour y arriver. »
Ottawa, Québec, Montréal International et le comité exécutif de l’AMA ont jusqu’en novembre pour en arriver à une entente.
RCI avec Radio-Canada Sports et Radio-Canada Info
En complément
Pour des raisons indépendantes de notre volonté et, pour une période indéterminée, l'espace des commentaires est fermé. Cependant, nos réseaux sociaux restent ouverts à vos contributions.