Tahar Houchi est de passage dans la métropole québécoise à titre de directeur du premier Festival international du film amazigh de Montréal.
Un premier opus qui a pour but de faire connaître la culture berbère et sa pérennité au Maghreb et ailleurs dans le monde, malgré le fait qu’elle est souvent confondue à l’identité arabe.
Cet Algérien d’origine installé à Genève, en Suisse, a d’abord été journaliste, puis critique de films. Après les événements du 11 septembre, il a créé le FIFOG (Festival international du film oriental de Genève) pour créer des ponts entre les cultures.
Maryse Jobin a voulu savoir quel peut être l’impact du FIFAM pour la communauté d’origine berbère d’ici. Tahar Houchi démêle aussi la signification des mots : berbère, amazigh et tamazight.
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Le FIFAM est présenté à la Cinémathèque québécoise à Montréal le samedi 30 septembre.
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