Le Québec est devenu en 2016 la quatrième province où le vaccin contre le VPH est offert aux garçons après l'Alberta, l'Île-du-Prince-Édouard et la Nouvelle-Écosse.
Vacciner ou ne pas vacciner nos enfants contre le VPH?
Alors que la rentrée scolaire est encore toute récente, plusieurs parents d’élèves de quatrième année doivent maintenant décider s’ils consentiront ou non à l’injection du vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) pour leur enfant, une décision qui continue de susciter craintes et hésitations.
Le programme de vaccination contre le VPH vise notamment à prévenir les cas de cancer du col de l’utérus chez les filles, mais aussi ceux de la gorge chez les garçons.
Pour 2016-2017, ce sont 58 429 enfants âgés de 9 à 10 ans qui ont reçu au moins deux doses de vaccin contre le VPH, selon des données fournies par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS).
Pour l’ensemble de la quatrième année du primaire, la couverture vaccinale contre le VPH s’est donc élevée à 73 % chez les filles, proportion identique à celle de l’année précédente, souligne le ministère.
Du côté des garçons, pour qui la couverture était offerte dans les écoles pour la première fois l’an dernier, on a observé un taux de 69 %.
Le saviez-vous? – La plupart des hommes et des femmes qui ont une vie sexuelle active auront une infection au VPH à un moment ou à un autre de leur vie. Une personne peut être infectée par plus d’un type de VPH au cours de sa vie. Elle peut aussi être infectée plus d’une fois par le même type de VPH. – Le VPH peut causer des cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve, du pénis, de l’anus et de la gorge.
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