Photo Credit: Courtoisie « Livres comme l’air »

Livres comme l’air : gardez l’espoir d’être libéré grâce à la lecture

L’initiative Livres comme l’air permet à des écrivains d’ici d’être jumelés à des personnes emprisonnées dans d’autres pays pour ce qu’elles ont écrit.

C’est pour défendre la liberté d’expression que depuis 18 ans Amnistie internationale, le Centre québécois du P.E.N. international, et l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) unissent leur force pour présenter au Salon du livre de Montréal une séance de lecture de dédicaces.

Des livres choisis pour accompagner ceux et celles qui se retrouvent injustement derrière les barreaux dans des pays qui ne respectent pas ou peu cette liberté.

En 2012, l’écrivaine québécoise Denise Desautels devenait la marraine de l’écrivaine colombienne Angye Gaona et lui dédicaçait son livre L’angle noir de la joie.

En octobre dernier, Mme Gaona lui faisait parvenir cette photo sur laquelle elle tient le livre en question.

Denise Desautels parle avec Maryse Jobin des raisons derrière son engagement et de ce qu’elle a ressenti lorsqu’elle a vu sa protégée enfin libérée.

Écoutez
La Colombienne Angye Gaona a envoyé cette photo à Denise Desautels après sa libération. © Courtoisie

Le Salon du Livre de Montréal offre généreusement à Livres comme L’air le stand 500, où vous pouvez signer une pétition en soutien à la liberté d’expression.

La Cérémonie de lecture des dédicaces de 10 écrivains d’ici en appui à des homologues emprisonnés se tiendra le vendredi 17 novembre à la Place Confort TD à compter 19 h 30.

La 18e édition de « Livres comme l’air » est présentée le vendredi 17 novembre au Salon du livre de Montréal. © Courtoisie
Catégories : International, Société
Mots-clés : , , , , ,

Vous avez remarqué une erreur ou une faute ? Cliquez ici !

Pour des raisons indépendantes de notre volonté et, pour une période indéterminée, l'espace des commentaires est fermé. Cependant, nos réseaux sociaux restent ouverts à vos contributions.