Sauf pour certains réfugiés syriens accueillis l’an dernier, la facture peut être salée dès les premiers mois pour les 25 000 réfugiés qui arrivent au Canada chaque année.
La majorité d’entre eux doivent rembourser leurs coûts de déplacement sous forme de prêts sur lesquels des intérêts sont perçus, comme l’explique Janet Dench, directrice du Conseil canadien pour les réfugiés (CCR).
Une situation que dénonce le CCR, car le stress financier peut nuire à leur intégration en menant, par exemple, à l’abandon de cours de langues.
Maryse Jobin s’est entretenue avec Janet Dench.
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