Montréal est peut-être une île avec sa culture et ses états d’âme, mais quand vient le temps de parler de congestion routière, elle ne fait pas cavalier seul, loin de là.
Toutes les villes du monde doivent composer avec les heures de pointe en circulation, les intempéries et, évidemment, les travaux routiers.
C’est l’univers du cône orange et de l’automobile roulant à la vitesse de l’escargot.
De plus, quand villes ou arrondissements entreprennent des travaux d’envergure sans vraiment prévenir l’entité voisine, qui elle aussi s’engage dans cette voie, vous voyez d’ici l’imbroglio.
Comme de plus en plus de chantiers doivent être réalisés simultanément afin d’assurer le maintien des infrastructures publiques, il y a par exemple, à Montréal seulement, plus d’une soixantaine d’entités qui interviennent sur l’ensemble de la région métropolitaine.
Le nerf de la quiétude : la coordination
Et cette coordination est plus facile à espérer qu’à réaliser. C’est ici qu’arrive Technologies OPA.
Cette entreprise, qui a vu le jour en 2015, s’est donné pour mission d’optimiser la gestion de la mobilité urbaine grâce à un outil cartographique répondant aux défis qui touchent la fluidité de la circulation des personnes, des marchandises et de l’information.
Technologies OPA se spécialise dans les logiciels d’optimisation numérique permettant la gestion intégrée des actifs d’infrastructures urbaines et de la gestion des entraves à la circulation.
Caroline Arnouk, présidente fondatrice de Technologies OPA, parle de son parcours, de la création de son entreprise et de ses espoirs pour 2018 au micro de Raymond Desmarteau.
Un peu plus :
Le seul cône orange qui vous fera sourire (Radio-Canada)
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