La semaine dernière, nous vous parlions de ce sondage réalisé par Léger pour le compte de Crédit Canada et du Financial Planning Standards Council, dossier que nous avions intitulé « Serions-nous coupables d’infidélité financière? ».
Un nouveau sondage, commandé cette fois par BDO Canada Limitée, met en lumière le fait que plus de la moitié des couples sondés (52 %) souhaitent pouvoir changer au moins l’une des habitudes financières de leur conjoint.
Parmi les points qui causent trop souvent des frictions, on trouve la propension à la dépense excessive (33 %), au manque de sérieux quant à l’épargne à long terme pour la retraite ou pour les urgences (3 5%) et, évidemment, aux sempiternelles cartes de crédit (20 %), ces outils que l’on peut qualifier, au même titre que l’eau et le feu, de bons serviteurs et de terribles maîtres.

Ronald Gagnon, associé, vice-président principal de BDO Canada Limitée
Le mercredi 14 février, jour de la Saint-Valentin, entre les fleurs et les moments tendres, pourquoi ne pas prévoir aussi une séance « étude de réalité financière »? Bon, d’accord, avouons-le, ce n’est pas très romantique. Reconnaissez tout de même qu’une structure financière familiale solide, connue des deux partenaires et mise à jour régulièrement, offre assurément des chances d’augmentation de ces moments d’intime tendresse.
Comme les finances sont l’une des principales causes de dispute ou de rupture, BDO Canada affirme que les couples devraient être ouverts et honnêtes à propos de leurs dettes et de leurs finances.
Ronald Gagnon est associé vice-président principal de BDO Canada Limitée. M. Gagnon est expert de gestion de la dette. Il nous parle du sondage, et de certaines pistes pour arriver à une embellie financière dans le tourbillon des dettes.
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