Le but, ce n’est pas de prendre une série de photos, mais bien de prendre des images dans lesquelles les sujets livrent vraiment une partie d’eux-mêmes à travers leurs regards, leurs gestes, leurs attitudes qui témoignent de leur humanité et aussi qui témoignent du moment d’intimité qu’on partage.
Arianne Clément, photographe
Arianne Clément – oui, vous avez bien lu, Arianne avec deux « n » – est photographe, mais c’est en tant que journaliste qu’elle a commencé à faire de la photo.
Après une maîtrise en photojournalisme obtenue à l’université des arts à Londres, elle a commencé à développer son style entre art pur et documentaire, avec des contrastes de textures, de lumières, d’hier à aujourd’hui, entre beauté et cruauté de la vie.
Regard sur les « gens invisibles »
Depuis maintenant quatre ans, Arianne pose son regard et ses objectifs sur des gens ordinaires, de tous les jours de son coin de pays, Acton Vale, une communauté au cœur de la plaine montérégienne entre Saint-Hyacinthe et Drummondville, à une petite heure de route de Montréal.
Le troisième âge et la beauté
Elle se consacre à montrer et à démontrer que la beauté n’a pas d’âge et, pour ce faire, elle prépare une exposition qui sera présentée cet été au Centre d’interprétation du patrimoine rural d’Upton, pas très loin d’Acton Vale, exposition dans laquelle vous verrez des femmes d’âge mûr, dans des contextes, des attitudes et des vêtements (parfois) qui vous prouveront que la sensualité du corps humain n’a pas d’âge.
Arianne Clément nous parle de ces 100 ans d’âge et de beauté.
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La photo coquine de Paul et Christine (La Tribune, Sherbrooke)
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