Cela fait près de 30 ans qu’ils n’avaient pas mis les pieds au Canada. Ils sont de retour, l’instant d’un concert à Montréal. Occasion unique pour leurs admirateurs de les revoir sur scène, de se laisser entraîner par leurs rythmes uniques et de fredonner avec eux les nombreuses mélodies qui ont tant marqué des générations de Sénégalais et d’Africains.
C’est aussi une occasion pour ceux qui ne connaissent pas Xalam de découvrir ce groupe qui a été à l’avant-garde des collaborations avec d’autres grands noms de la musique tant en Afrique (Myriam Makeba, Hugh Masekela…) que sur la scène mondiale (Rolling Stones, Crosby Stills and Nash…).
D’ailleurs, Xalam est connu pour son mariage de rythmes typiquement sénégalais, comme le Mbalax, avec des sonorités internationales comme l’afrojazz, l’afrofunk, le jazz rock, le jazz fusion, etc. Sans surprise, les membres de Xalam qui sont aujourd’hui une référence pour de jeunes artistes sénégalais, se réjouissent du dynamisme actuel de la scène musicale africaine.
Avant le grand concert de vendredi (15 juin) au National à Montréal, Tafa, Henri et Souleymane Faye, trois ténors de Xalam, sont venus échanger avec RCI.
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