Montréal vibre au rythme du Festival International Nuits d'Afrique depuis le 10 juillet (Photo FINA)

Nuits d’Afrique : 32 ans de dépaysement et d’émerveillement

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C’est devenu une tradition estivale à Montréal. Depuis 1987, au plus fort de la belle saison, la métropole québécoise vibre au rythme des sonorités africaines et caribéennes. Pour sa 32e édition du 10 au 22 juillet, le Festival international Nuits d’Afrique a prévu de mettre en vedette près de 700 artistes issus de 30 pays d’Afrique, des Antilles et d’Amérique latine. Un total de 125 concerts et activités est prévu, avec 6 jours de programmation extérieure gratuite du 17 au 22 juillet.

À quelques jours de la fin, la directrice générale du Festival, Suzanne Rousseau, fait le point avec Didier Oti et évoque ses rêves pour cet événement culturel qui symbolise le métissage culturel de Montréal, du Québec et du Canada.

En trois décennies d’existence, le Festival Nuits d’Afrique n’a cessé de prendre de l’envergure. Et pour accommoder un public toujours plus nombreux, il a dû changer de site extérieur, passant du boulevard Saint-Laurent à ses débuts au parc Émilie-Gamelin dans l’est de la ville. Depuis 2011, c’est le cas de le dire, il a pris ses quartiers au Quartier des spectacles au centre-ville.

Les spectacles extérieurs gratuits du FINA sont devenus des incontournables tant pour les touristes que pour certains Montréalais pour qui, l’été, tous les prétextes sont bons pour se distraire et oublier les interminables mois d’hiver.

Cette 32e édition du FINA est l’occasion de rendre hommage à un grand de la musique africaine : le Guinéen Sekouba Bambino. Il reçoit vendredi le Prix Nuits d’Afrique pour la Francophonie.

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