Une des signatures du paysage de Montréal est son stade olympique conçu par l’architecte français Roger Taillibert pour les Jeux d’été de 1976.
Un ouvrage qui a marqué l’imaginaire de l’architecte montréalais Maxime-Alexis Frappier lorsqu’il était enfant.
Pas étonnant qu’il ait été invité à être commissaire avec Alain Stanké de l’exposition Volumes et lumière qui met en valeur les œuvres architecturales, des peintures et des dessins de M. Taillibert.
Elle est présentée au Centre d’art Diane Dufresne jusqu’au 29 septembre prochain.
Maxime-Alexis Frappier parle des émotions véhiculées par ce grand architecte français à travers son parcours créatif.
Roger Taillibert devant une de ses peintures au Centre d’art Diane Dufresne Crédit photo : Vicky Brunoro-Laporte – Domrob.
Maxime-Alexis Frappier agit à titre de président et concepteur principal de l’agence d’architecture ACDF, qui compte plus de 90 employés et s’illustre tant au Québec qu’à l’étranger. M. Frappier et son agence ont reçu de nombreuses distinctions, dont plusieurs prix de l’Ordre des architectes du Québec, une médaille du gouverneur général du Canada en architecture et le prix du Jeune Architecte de l’Institut royal d’architecture du Canada en 2013.
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