Selon cette femme d’affaires québécoise, la famille est le lieu privilégié pour transmettre aux enfants les valeurs de droit et de tolérance.
Un endroit pour développer le savoir-être, ce qui est à la base de ce sera que la personne plus tard.
Dans cet essai, Danièle Henkel explique ce qu’il ne faut pas faire pour gérer le choc culturel : stigmatiser et ostraciser. Elle affirme que l’école est le meilleur outil pour l’enseignement des valeurs démocratiques.
« Je suis née, j’ai grandi et vécu en Afrique du Nord jusqu’à l’âge de 34 ans. Je n’ai jamais porté le voile. Il ne m’a jamais été imposé. Pourtant, en Algérie, la majorité des femmes autour de moi étaient voilées. J’ai quitté ce pays en 1990, quand on a commencé à en faire une obligation pour toutes. Selon moi, les croyances religieuses sont personnelles : ni imposition ni interdiction. » extrait du livre de Danièle Henkel
En novembre, Danièle Henkel était nommée dans le top 100 des femmes les plus influentes du Canada par le Women’s Executive Network.

Page couverture : Éditions Plon
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