L’ABC du commerce international – Partir du bon pied et ne pas se les mettre dans les plats

Plusieurs dirigeants de petites et moyennes entreprises songent à élargir leur palette de clients potentiels et se lancent tête première dans la première foire internationale venue. Nombre d’entre eux reviennent bredouille, déçus, choqués même. On ne m’y reprendra pas … et on se prive d’occasions de croissance.

Isabelle Limoges et Karl Miville-de Chêne ont décidé de prendre de front ces appréhensions et ces mauvaises expériences par rapport aux processus d’exportation en  proposant une troisième édition de leur livre « Le commerce international» paru chez Chenelière Éducation.

Transports, douanes, devis et permis et … culture, une longue liste de facteurs  qui doivent être pris de front, qui doivent être considérés dans leur ensemble. Le commerce international est fait de nombreux éléments qui semble être disparates mais qui forment un tout, peut-être pas homogène, mais un tout bien différent de ce à quoi les dirigeants des PME d’ici sont habitués et habilités à faire face.

Une démarche structurée, planifiée et analysée de commerce international ne s’improvise pas. Il est très difficile de se forger une ligne directrice et souvent très difficile d’accepter qu’il faille s’entourer de personnes compétentes.

Karl Miville-de Chêne, associé chez Contacts Monde, formateur et conseiller en commerce international et co-auteur du livre Le commerce international  est l’invité au micro de Raymond DesmarteauÉcoutez