C’est dans cette direction qu’une étude de l’Université de Londres veut nous amener à réfléchir. Cette étude, faite auprès de producteurs de thé et café en Ouganda et en Éthiopie, suggère que le prix supplémentaire payé par les consommateurs pour ces produits sous la bannière « équitable » ne garantit pas une meilleure qualité de vie aux travailleurs de ce secteur.
Mais selon Sylvain Charlebois, professeur à l’Université Guelph en Ontario, cette étude britannique doit être mise en contexte et ne reflète pas les conclusions d’autres études sur le commerce équitable.
Maryse Jobin a demandé à Sylvain Charlebois, spécialiste distribution et politiques agroalimentaires à l’Université Guelph, pourquoi il est important de mettre en perspective les résultats de l’étude britannique.
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Le commerce inéquitable ? Sylvain Charlebois (journal La Presse)
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