Ils se nomment « steampunks ». « Punk », parce qu’ils ont un fond rebelle et « steam » parce que c’était la source première d’énergie au XIXe siècle.
Au départ, le steampunk était un genre littéraire, une appellation sous forme de boutade inventée par l’auteur américain de science-fiction K.W. Jeter.
Être steampunk, c’est vivre dans un monde de « rétrofuturisme » où l’on imagine le monde du futur avec les données du passé, s’enrober dans un esthétisme qui s’intéresse à la littérature fantastique et à certaines parcelles de la science-fiction et en faire une partie importatne de son quotidien.
Un quotidien où l’on explore la rétro science-fiction, imaginant le futur s’il était alimenté par la technologie de l’ère victorienne.

Ce week-end, les touristes rétro-futuristes steampunks se donnent rendez-vous dans la petite communauté de Sherbrooke Village en Nouvelle-Écosse.
La Société Jules Verne Phantastical de Halifax sera également de la fête.
Tenez-vous le pour dit, il y aura beaucoup de lunettes de protection, de pistolets à rayons gamma (faux, évidemment), de chapeaux melon, de redingotes … et de cuir!
On profitera aussi de Sherbrooke Village pour en apprendre un peu plus sur les premiers balbutiements de la photographie tout comme de la chute en désuétude de différents métiers du passé tel celui de maréchal-ferrant de village.
Les collègues de l’émission de télévision Absolutely Maritimes vous invitent à en rencontrer quelques-un.
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