Pour des générations de Canadiens en général et de Néo-Écossais en particulier, l’Île de Sable a nourri bien des imaginaires. L’Île de Sable, c’est une lamelle courbée dans l’Atlantique, peuplée de chevaux sauvages, ceinturée de plages battues des vents.
C’est un bout du Canada qui possède aussi une longue histoire faite de tragédies maritimes.
Le parc national de l’Île de Sable, le plus récent ajout à la liste des parcs nationaux du Canada, est aujourd’hui protégé par la Loi des Parcs nationaux.
Grâce à la désignation au sein de Parcs Canada, il sera possible de visiter ce nouveau parc national.
Mais comment? Là réside toute la question, car c’est un territoire extrêmement fragile. Parcs Canada a lancé une consultation en ligne auprès des Canadiens pour recueillir leurs avis sur comment exploiter l’Île de Sable de façon sécuritaire et surtout écologique.
Quelques données intéressantes sur l’Île de Sable
L’Île de Sable est à 290 km au sud-est de la Nouvelle-Écosse dans l’océan Atlantique. Elle fait 42 km en longueur et 1,3 km de largeur.
Depuis 1977, elle est un refuge d’oiseaux migrateurs. On y trouve aussi plus de 500 chevaux sauvages et près de 50 000 phoques gris.
Au fil de son histoire, on y dénombre près de 350 naufrages. On la surnomme « le cimetière de l’Atlantique».
L’île connaît plus de 125 jours de brouillard par année.
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