La semaine dernière, la Cour suprême du Canada a rejeté la demande de la CSFY (Commission scolaire francophone du Yukon) entre autres, de choisir qui sont les ayants droit qui peuvent fréquenter la seule école francophone du territoire située à Whitehorse.
Parmi les autres demandes présentées par la Commission scolaire, le droit de gérer leurs propres écoles et d’y engager les professeurs.
En février dernier, le Ministère de l’éducation du Yukon accédait à la demande de la CSFY et accordait l’accès à une école francophone de niveau secondaire pour pallier au manque de places et de locaux que vivent les l’élèves de l’École Émilie Tremblay/Académie Parhélie qui regroupe le niveau primaire et secondaire.
Maryse Jobin a discuté des répercussions de la décision de la Cour suprême du Canada, dans l’affaire de l’école Émilie Tremblay au Yukon, avec Ludovic Gouaillier, président de la Commission scolaire francophone du Yukon.
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Les francophones du Yukon auront droit à une nouvelle école secondaire à Whitehorse

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