enseigne à l'entrée de l'école

L'école primaire Émilie-Tremblay et le secondaire Académie Parhélie sont situés dans le même édifice à Whitehorse au Yukon.
Photo Credit: ICI Radio-Canada/Claudiane Samson

L’éducation en français au Yukon, un dossier qui n’est pas encore réglé

La semaine dernière, la Cour suprême du Canada a rejeté la demande de la CSFY (Commission scolaire francophone du Yukon) entre autres, de choisir qui sont les ayants droit qui peuvent fréquenter la seule école francophone du territoire située à Whitehorse.

Parmi les autres demandes présentées par la Commission scolaire, le droit de gérer leurs propres écoles et d’y engager les professeurs.

En février dernier, le Ministère de l’éducation du Yukon accédait à la demande de la CSFY et accordait l’accès à une école francophone de niveau secondaire pour pallier au manque de places et de locaux que vivent les l’élèves de l’École Émilie Tremblay/Académie Parhélie qui regroupe le niveau primaire et secondaire.

Maryse Jobin a discuté des répercussions de la décision de la Cour suprême du Canada, dans l’affaire de l’école Émilie Tremblay au Yukon, avec Ludovic Gouaillier, président de la Commission scolaire francophone du Yukon.

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Ludovic Gouaillier, président de la Commission scolaire francophone du Yukon © CBC

Éducation en français au Yukon : La Cour suprême du Canada  renvoie la cause en cour de première instance

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Classes portatives en annexe de l'École Émilie-Tremblay en hiver
Le programme de l’Académie Parhélie est offert dans des classes portatives. © ICI Radio-Canada

 

Catégories : Politique, Société
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