Pendant que les dirigeants des principales grandes puissances de la planète — dont le Canada représenté par le nouveau premier ministre Justin Trudeau — se rencontrent à Antalya en Turquie dans le cadre du sommet du G20, la journaliste turque Amberin Zaman est à Montréal.
Jusqu’à récemment, Mme Zaman couvrait la Turquie pour la revue The Economist.
Elle est maintenant éditorialiste pour le site turc d’information en ligne Diken. Elle collabore également au site d’actualités sur le Moyen-Orient, Al-Monitor, basé à Washington aux États-Unis.
Mme Zaman est à Montréal pour participer ce soir (16 novembre à 19 h) à une table ronde organisée par l’Institut international de la presse et l’Université Concordia de Montréal.
Le thème : « Menaces, risques et libertés : une conversation sur le journalisme et les droits de la personne ».
Amberin Zaman sait de quoi elle parle. Elle-même victime de censure, elle assiste, impuissante, aux violations de plus en plus fréquentes de la liberté de presse dans son pays.
Dans l’entrevue qu’elle nous a accordée, Mme Zaman explique la réalité des journalistes en Turquie. Il a aussi été question des événements tragiques qui ont secoué la capitale française, Paris.
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