La ville de Kingston en Ontario, par l’entremise de son conseil municipal, a adopté cette semaine une motion la déclarant en état d’urgence climatique.
Elle se joint ainsi à Vancouver, en Colombie-Britannique, à Halifax, en Nouvelle-Écosse, à Trois-Rivières, au Québec, et à Edmundston, au Nouveau-Brunswick, afin d’adopter plus de mesures pour contrer le réchauffement climatique.
C’est toutefois la première municipalité de la province la plus populeuse du pays à faire un tel geste.
Le conseiller municipal Robert Kiley a présenté cette motion. Il a déjà été candidat pour le Parti vert de l’Ontario.
Il a expliqué que les changements climatiques menacent le mode de vie des résidents autant sur les plans économique, social qu’environnemental.
M. Kiley croit que cette déclaration d’urgence motivera la ville à agir encore plus rapidement pour combattre les effets liés aux changements climatiques.
Cette décision n’est pas surprenante, car Kingston fait déjà figure de leader sur les questions environnementales. Elle s’est d’ailleurs engagée à atteindre les cibles de l’Accord de Paris sur le climat. Ainsi, le nombre de personnes qui utilisent les transports en commun y est en hausse.
avec les informations de Radio-Canada
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