Les leaders des 20 pays les plus industrialisés de la planète sont à Osaka, au Japon, pour parler d’économie.
Une rencontre sur fond de discorde entre les États-Unis et la Chine à propos d’un accès plus ouvert au marché américain pour les produits chinois.
Le tout enrobé d’un contentieux autour de la technologie 5G poussée par l’entreprise Huawei et freinée par l’administration Trump.
À travers tout ça, le Canada est coincé entre l’arbre et l’écorce depuis que Meng Whanzou, la numéro deux de Huawei, a été arrêtée à la fin de 2018 à Vancouver.
C’est à la demande des États-Unis que le Canada a interpellé Mme Meng. Washington soupçonnait Huawei d’avoir violé les sanctions internationales contre l’Iran en utilisant sa filiale Skycom.
Quels sont les domaines de développement économique à privilégier à ce sommet?
Et le Canada peut-il compter sur l’aide du président Trump pour mettre fin au froid politique que la Chine lui impose?
Winston Chan, représentant canadien au sein du groupe de travail B20-G20, répond aux questions de Maryse Jobin.
Le Canadien Winston Chan, membre du groupe B20, en compagnie du ministre de l’Économie, du Commerce et de l’Industrie du Japon, Hiroshige Seko, plus tôt cette année. Photo : Courtoisie.
Le Business 20 (B20) est une initiative mise sur pied par des gens d’affaires soucieux des défis et des priorités auxquels font face les pays membres du G20.
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