Dans plusieurs langues africaines, le mot « sira » désigne le chemin, le parcours à suivre.
C’est aussi l’image utilisée quand on veut aller vers l’autre, créer des rencontres profondes, vraies, à l’échelle humaine.
Si les traditions, la transmission et la place de l’oralité sont des références fondamentales de toutes les communautés sur Terre, cela est important pour une société comme la nôtre où l’immigration occupe une large part de partager les valeurs communes.
Amel Abou-El-Azm, coordonnatrice du SIRA (Photo : gracieuseté)
La 5e édition du SIRA se tiendra cette année les 27 et 28 septembre à la Maison de l’Afrique de Montréal. Au cours de ces deux journées, on vous proposera d’aller à la rencontre de plusieurs cultures africaines, mais aussi sud-américaines et d’ici.
En partenariat, notamment avec le Wapikoni mobile, le SIRA ouvre ses portes à des manifestations culturelles autochtones du Québec.
Amel Abou –El-Azm est coordonnatrice du SIRA. Elle nous parle de sa passion pour ce chemin, pour ces rencontres et pour les deux jours de cette 5e édition.
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