En août dernier, la canoéiste canadienne Laurence Vincent-Lapointe était suspendue provisoirement pour dopage au Ligandrol.
Lors d’un point de presse à cette époque, elle s’était défendue de tout dopage en présence de son avocat Adam Klevinas et avait affirmé obtenir ses suppléments d’un Centre national d’entraînement.
Les tests sur les quatre suppléments que Vincent-Lapointe soupçonne être la source de la substance dopante se sont révélés négatifs quant à la présence de Ligandrol.
Le Centre canadien du sport Atlantique (CCSA) a reçu les résultats de l’analyse des produits du même lot que ceux consommés par la championne du monde de canoë. Ils sont revenus négatifs, a confirmé Me Klevinas.
Les tests demandés par le CCSA ont été réalisés par le Laboratoire de génie chimique de Toulouse, non accrédité auprès de l’Agence mondiale antidopage (AMA).
L’entourage de Vincent-Lapointe a aussi commandé une analyse d’échantillons des mêmes suppléments à un autre laboratoire et a reçu les résultats. Une information confirmée par l’agence qui représente l’athlète canadienne. Mais les résultats ne seront pas dévoilés pour l’instant.
Laurence Vincent-Lapointe et son avocat ne feront pas de commentaires sur ces résultats avant la décision de la Fédération internationale de canoë (ICF).
Avec les informations de Radio-Canada
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