Les amendes pour ces deux infractions ont été de 2500 $ et de 6500 $.
Dans le premier cas, les faits remontent au mois de février. Il est reproché au voyageur d’avoir présenté un faux test et d’être monté à bord d’un avion en partance pour le Canada.
Dans le second, le voyageur a également présenté un faux document lié à un test. Cela lui a permis de prendre un vol des États-Unis vers Toronto, le 3 avril dernier.
Dans les deux situations, les individus ont porté atteinte à l’arrêt d’urgence visant certaines exigences de l’aviation civile liées à la COVID-19. Selon cet arrêt, aucun voyageur ne devrait fournir intentionnellement de fausses déclarations au sujet du test de COVID-19.
L’embarquement dans un avion à destination du Canada ne devrait se faire que si 72 heures avant, les voyageurs avaient fourni les preuves d’un résultat négatif à la COVID-19 ou la preuve d’un test positif obtenu de 14 à 90 jours avant le vol.
Ces deux cas ne sont pas les premiers rapportés par les autorités canadiennes.
Il y a eu des précédents en janvier. Deux individus ont reçu 10 000 $ et 7000 $ d’amende. Dans deux autres cas, les voyageurs ont été sanctionnés pour avoir omis de présenter des résultats de tests et pour n’avoir pas respecté la mesure de quarantaine.
Transport Canada attire l’attention des transporteurs aériens sur la nécessité de l’informer de toute tentative de fraude, ou s’ils ont des doutes concernant les tests modulaires pour la COVID-19.
Selon un communiqué de Transport Canada
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