« En fait, tout ce qu’on fait, le corporatif, le jeunesse, l’humanitaire, dans les festivals, l’intervention sociale, tout ça se fait avec une ligne directrice. C’est que nous passons des instruments de musique au public, et le public devient musicien. On enlève carrément le quatrième mur et on dit, ce soir, dans le moment présent et vous devenir les musiciens du spectacle. En gros, c’est ça l’approche de Samajam, approche que l’on décline de toute sorte de façons. »
Louis Bellemare, président fondateur, Samajam
Samajam est né de la passion d’un homme accro au bonheur et de son désir d’excellence en divertissement participatif.
Des débuts à Montréal à son ouverture vers le marché international, le fil conducteur de toutes les interventions scéniques de Samajam c’est, comme le dit Louis Bellemare, d’abattre ce quatrième mur, celui qui sépare la scène de la salle et inversement pour créer un « événement ».
2016 des records en Chine
Depuis à peu près cinq ans, Louis Bellemare passe au moins la moitié de l’année en Asie. Outre sa passion pour le spectacle, l’homme est un entrepreneur dans l’âme.
« L’Asie, pour les quelques années à venir, c’est là que ça se passe. Mais, une priorité pour moi, c’est de toujours avoir des artistes québécois sur scène. C’est dans notre ADN. »
Et les résultats de 2016 pour le spectacle Samajam Kids Show sont impressionnants : 100 spectacles jeunesse, 22 villes, 50 000 billets vendus.

Louis Bellemare (http://www.samajam.com/)
Et ce n’est pas fini
« Le marché du divertissement a été en hausse de 17% par année depuis cinq ans en Chine. C’est une chance à saisir. Pensez au Cirque du Soleil, pensez à Cavalia. »
De passage presque en coup de vent au Canada, Louis Bellemare, président fondateur de Samajam est l’invité au micro de Raymond Desmarteau
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