Des frites et du fromage

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La malbouffe fait une bouchée du porte-feuille des familles québécoises. Serait-ce votre cas?

Voici donc votre question Tam-Tam Canada de cette semaine!

28 % du budget alimentaire des Québécois est investi dans les mets de restaurants. La consommation de préparations alimentaires précuites a augmenté pour sa part de 700 % en cinq ans au Québec.

Et vous, entre la malbouffe et la bonne bouffe où vous situez-vous maintenant personnellement?

Vous souhaitez répondre à cette question et participer ainsi à la prochaine émission Tam-Tam Canada présentée ce week-end?

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Francoise Depardieux
Francoise Depardieux en France – Mes parents étaient propriétaires d’une petite épicerie d’aliment fins avec spécialité en fromage. Dont ai-je besoin de vous faire un dessin. Tous les voisins ne rataient jamais une occasion de venir de remplir les babines quand ma mère choisissait d’inviter le voisinage à toutes nos petites fêtes. Aujourd’hui, ces bons repas et ces traditions sont moins présents à notre table et c’est surtout un problème de temps. Mon mari et moi travaillons tous les deux 35 heures et plus et le temps manque souvent le soir pour bien se mettre à table. Alors on sort les mêmes recettes rapides fois après fois. Je me demande à quoi en seront réduits nos deux gosses à la maison quand leur tour viendra de préparer les repas. De faconde polie, sans être trop imagée, je dirais que ces jours-ci, la gastronomie on l’a parfois dans les talons!
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Kuassi Hounza

Kuassi Hounza au Cameroun En ce qui me concerne, vu que nous nous adonnons de nos jours trop à la malbouffe, en nous nourrissant mal car on est pressé d’aller au boulot, pour ne pas rater le bus, le train, le métro ou un rendez-vous, en bouffant tout ce qui est fastfood mais oubliant que nous portons atteinte à notre santé, je mange d’abord frais, c’est-à-dire ce que ma femme me prépare à la maison. Le reste du temps, je jeûne ou je mange local avec modération.

Je m’explique : « Je dispose d’une bonne hygiène de vie et je préfère prévenir que guérir. Alors, j’évite le plus souvent l’alimentation néfaste c’est-à-dire les plats préparés, pizzas surgelées et les céréales alléchantes. Parce que la nourriture cuisinée de manière industrielle n’apporte rien de bon à mon corps. Je mange le matin tôt à la maison en prenant mon petit-déjeuner soit un café ou un thé lipton (ou mieux je bois de la bouillie locale). Et je m’en vais au travail. A midi je cherche juste un pain salé ou sucré et je bois beaucoup d’eau. J’attends le soir en rentrant pour manger une fois de plus ce que ma femme a préparé avec amour et naturel : des légumes, pommes de terre frites, salade ou la nourriture locale de chez nous à base de maïs ou le mil. Mais il y a des jours où je jeûne tout simplement pour garder la ligne ». Au niveau boissons, l’eau est mon favori, et le plus souvent du soda ou sprite (avec modération). Rarement je bois de l’alcool sec comme du whisky, du brandy, de la vodka, etc. En matière de viande, je ne mange que du poisson depuis le mois de janvier 2013 jusqu’à ce jour car cela fait partie des attentes de mon appareil digestif ».

Voilà, c’est pas compliqué que çà. J’écoute mon organisme et je lui donne les nourritures qu’il accepte et ceux qu’il rejette je les classe dans mes totems. C’est çà la bonne bouffe pour moi.

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Écoutez ou regardez ici la récente émission Tam-Tam Canada du 22 janvier – Les sports d’hiver préférés des Canadiens

Catégories : Santé, Société
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