Dimanche, les Français auront le choix de voter pour Emmanuel Macron, instigateur du mouvement En marche, ou pour Marine Le Pen, du Front national.
Ce sera le deuxième tour de ces présidentielles dont le premier vote a révélé une France divisée par un désenchantement des allégeances politiques traditionnelles.
Les sondages placent Macron nettement en avance sur Le Pen, mais il semble que cet appui est un vote par dépit ou à reculons.
C’est du moins l’analyse que fait le politologue Frédéric Boily, car la majorité des électeurs ont appuyé un parti autre que le mouvement En marche de Macron au premier tour.
Maryse Jobin s’est entretenue avec Frédéric Boily, professeur de science politique à l’Université de l’Alberta, qui termine un séjour à titre de chercheur invité au CEPEL à Montpellier, en France.
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La fête au village (chronique d’Yves Boisvert dans le quotidien montréalais La Presse)
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