300 millions de repas seraient jetés dans les décharges canadiennes chaque année. crédit photo: Radio-Canada

Le suremballage alimentaire plus difficile à régler que les simples sacs de plastique

Les sacs de plastique seront chose du passé dans les épiceries Sobeys, connu principalement pour ses bannières IGA au Québec et Safeway dans le reste du Canada.

Après son annonce faite à grand coup de marketing, l’entreprise a aussi révélé vouloir s’attaquer au suremballage alimentaire dans ses magasins.

Plus facile à dire qu’à faire?

À l’automne 2019, le spécialiste en distribution et politiques agroalimentaires Sylvain Charlebois évoquait les freins à la lutte contre le suremballage alimentaire.

Si le remplacement des sacs d’épicerie à usage unique semble facile à mettre en place, d’ailleurs le géant ontarien Loblaws l’a déjà fait, réduire le suremballage s’avère un défi de taille dans la filière alimentaire.

Sylvain Charlebois, directeur du Laboratoire en sciences analytiques agroalimentaires à l’Université Dalhousie, parle des enjeux de salubrité, de fraîcheur et de coûts dont il faut tenir compte au micro de Maryse Jobin.

Sylvain Charlebois répond aux questions de Maryse Jobin

En complément

Réduire le gaspillage et l’emballage des aliments (opinion de Sylvain Charlebois)

Virage vert pour Sobeys : fin des sacs en plastique dans tous ses magasins d’ici la fin de janvier 2020 (RCI)

Vos plats font du chemin chez Métro (politique de contenants réutilisables)

Interdiction du plastique à usage unique: «Le consommateur est dur à suivre!» (La Presse)

Catégories : Environnement et vie animale, Société
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