Cette semaine dans l’est de la métropole québécoise, une femme et ses deux enfants ont été retrouvés morts mercredi dans une résidence de quartier Pointe-aux-Trembles.
Une découverte faite par des policiers après que le père s’est suicidé en sautant d’une fenêtre d’un établissement de santé qu’il ne fréquentait pas.
Un autre cas de « meurtre familial » après celui d’octobre dernier lorsqu’un père s’est enlevé la vie et celle de ses enfants dans le quartier Tétreaultville dans la région de Montréal.
Pourquoi en arriver là?
Qu’est-ce qui peut amener un conjoint, un père à poser de tels gestes?
Selon Julie Laforêt, conseillère scientifique en prévention de la violence, dans la moitié des cas il y a des antécédents de violence conjugale et cela survient dans un contexte de séparation. Mme Laforêt, qui travaille à l’Institut national de la Santé publique du Québec, expliquait jeudi à l’émission Tout un matin à Radio-Canada, comment la violence conjugale comprend une notion de contrôle par celui qui l’exerce :
Si vous croyez être victime de violence conjugale contactez des ressources d’aide comme SOS violence conjugale dont le numéro de téléphone partout au Québec est 1 800 363-9010.
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