Qu’arrive-t-il après la fermeture d’une mine de diamants?
![Ekati diamond mine1](https://www.rcinet.ca/regard-sur-arctique/wp-content/uploads/sites/31/2013/03/Ekati-diamond-mine1.jpg)
Quand on se penche sur les photographies aériennes des mines de diamants à ciel ouvert Ekati et Diavik, dans les Territoires-du-Nord-Ouest, ce qu’on remarque en premier, ce sont ces énormes cratères circulaires, comme s’ils avaient été creusés dans la toundra par une sorte de tire-bouchon géant.
D’énormes engins de terrassement creusent le sol et transportent la kimberlite – ces roches qui contiennent le diamant – jusqu’à une usine de récupération où le minerai est passé dans des concasseurs. Le précieux résidu – des diamants bruts de tailles et de formes variées – est ensuite passé dans des séparateurs, avant d’être encore davantage trié et traité.
![Diavik diamond mine](https://www.rcinet.ca/regard-sur-arctique/wp-content/uploads/sites/31/2013/03/Diavik-diamond-mine.jpg)
Mais que fait-on du site une fois l’extraction minière terminée? Cette activité industrielle intensive marque-t-elle à jamais la toundra et les lacs de la région?
Le réalisateur Levon Sevunts de Radio Canada International a voulu en savoir plus et a interviewé Colleen English, chef du Développement durable, des Relations extérieures et des Relations avec les collectivités, à la mine de diamants Diavik.