Vos cinq animateurs vous invitent cette semaine aux progrès technologiques qui amènent toute une série d’objets et de nouveaux services aux rites funéraires pratiqués par les Canadiens, et ce sur fond d’abandon des rites religieux.
Regardez Tam-Tam Canada du vendredi 4 janvier 2019 – 39:06
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Perspectives roses pour la crémation et les préarrangements funéraires au pays
Malgré la perspective d’une hausse accrue du marché du bas prix et de la popularité des enterrements beaux bons pas chers, les entreprises funéraires voient l’avenir en rose puisque la vogue aux préarrangements funéraires est particulièrement avantageuse pour elles. Les clients, de leurs vivants, ont tendance à dépenser davantage pour leur enterrement.
La mort : une dure réalité de moins en moins tabou
Le Palais des congrès de Montréal accueillait récemment le premier « Salon de la mort » au Québec. Se sont réunis pendant deux jours les spécialistes et des représentants des salons funéraires. Sujet tabou depuis des lustres, la grande faucheuse ne nous ferait-elle plus peur? On en discute avec Louis-Simon Lamontagne, thanatologue de père en fils depuis quatre générations.
Interdite depuis 1974, verra-t-on le retour de l’assurance funéraire au Québec?
L’assurance funéraire est donc un produit financier qui verse aux proches du défunt un certain montant censé couvrir les frais pour « régler » le décès. Le Québec en avait interdit la vente en 1974 ayant peur que les compagnies d’assurances profitent de la vulnérabilité des personnes âgées et fassent de la sollicitation abusive pour signer ces lucratifs contrats.
Les égoportraits avec défunts sont-ils vraiment de mauvais goût?
Le regroupement québécois des propriétaires de salon funéraire dénonçait l’affaire et lançait, il y a deux ans, une mise en garde à la population : ce comportement est inacceptable et un manque de respect le plus élémentaire. Mais pour des spécialistes de l’image et des communications, ces gestes sont loin d’être égoïstes…
L’urne de glace: nouvelle venue dans le monde des funérailles écologiques
Depuis de nombreuses années, Diane Leclair Bisson s’interroge sur les façons que nous avons de disposer des cendres de nos proches disparus. Les urnes traditionnelles que nous proposent les différents services funéraires sont, selon ses propres mots, « laides, elles ne nous ressemblent vraiment pas et elles coûtent affreusement cher.»
Les Canadiens préfèrent de plus en plus mourir à « petit prix »
Voyez comment l’industrie funéraire au Canada multiplie les astuces pour faire échec à la tendance au sein des consommateurs depuis une quinzaine d’années qui tentent de se désinvestir de certaines pratiques liées aux enterrements qu’ils jugent trop coûteuses ou dépassées que ce soit pour eux-mêmes ou pour un membre cher.
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