Entre l’urgence et l’indifférence, l’Alaska se réchauffe

Le glacier Grewingk, en Alaska (Emilio Avalos/Radio-Canada)
Si la question des changements climatiques figure au bas des priorités des Américains aux élections de mi-mandat, en Alaska, elle est centrale. L’État américain le plus nordique est aussi celui qui se réchauffe le plus rapidement, ce qui entraîne des conséquences parfois catastrophiques tant pour la nature que pour l’économie locale.

Des orignaux qui se promènent près de l’aéroport de la métropole Anchorage, des aigles à tête blanche omniprésents, des loutres de mer qui se comptent par dizaines et des montagnes toujours dans le champ de vision des gens. En Alaska, le contact avec la nature est constant. Ce n’est pas pour rien que le 49e État américain porte le surnom de « dernière frontière », un rappel de sa nature toujours sauvage et éloignée du reste du pays.

Cette proximité avec la faune et la flore dans un État dont l’économie dépend largement de l’exploitation des ressources naturelles fait aussi en sorte qu’il est impossible d’ignorer à quel point l’Alaska se réchauffe.

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