Pacte de collaboration sur les brise-glaces : le travail se poursuit

Un navire dans un chantier de construction.
En 2024, Ottawa a entrepris l’achat de 8 nouveaux navires brises-glaces, qui permettront d’assurer une meilleure présence dans l’Arctique. (Photo d’archives) Photo : Chantier naval Seaspan

Les coordonnateurs nationaux du Pacte de collaboration sur les brise-glaces du Canada, de la Finlande et des États-Unis se sont réunis pendant deux jours à Ottawa afin de discuter des prochaines étapes de leur collaboration pour la construction de brise-glaces polaires et de l’Arctique.

Les discussions ont porté sur quatre éléments principaux :

  • Expertise technique et échange d’information* : Partage de connaissances et d’expertise pour améliorer les capacités de déglaçage.
  • Développement de la main-d’œuvre* : Renforcement des compétences et des capacités des travailleurs dans le domaine des brise-glaces.
  • Relations avec les alliés et l’industrie* : Collaboration avec l’industrie et les alliés pour promouvoir le Pacte et ses objectifs.
  • Recherche et développement* : Avancement des connaissances et des technologies pour améliorer les brise-glaces.
Les brise-glaces polaires, dont on voit ici une maquette, seront les plus aptes à soutenir la recherche de pointe, selon la Garde côtière canadienne. (Archives/VARD)

Les 3 pays ont chacun présenté leur examen initial et leur analyse des résultats de la demande de renseignements qu’ils ont menés dans leurs marchés respectifs pour recueillir les avis et les recommandations de l’industrie, explique un communiqué de Services publics et Approvisionnement Canada.

Cette étape vise à mobiliser les chantiers navals intéressés et les chaînes d’approvisionnement en vue d’une participation future du secteur privé.

Le brise-glace Amundsen navigue dans le passage du Nord-Ouest. (Getty)

Les délégués ont également participé à une table ronde avec des représentants de l’industrie, du milieu universitaire et de groupes de réflexion canadiens.

Les pays partenaires se sont engagés à poursuivre le travail lié au Pacte et ont convenu de se rencontrer à nouveau en personne à l’automne 2025, aux États-Unis.

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