Deux nouveaux cas de COVID-19 confirmés à Yellowknife

Le gouvernement des Territoires du Nord-Ouest a confirmé les 7e et 8e cas de COVID-19 au territoire. Il s’agit des deux cas présumés annoncés vendredi à Yellowknife.
Les autorités de la santé publique indiquent aussi avoir placé un contact en isolement.
Vendredi dernier, le gouvernement a lancé un avertissement de risque d’exposition au détachement de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et au centre d’entraînement Anytime Fitness.
Selon les autorités, plus d’une vingtaine de personnes susceptibles d’avoir été exposées au virus en raison de leur présence au centre d’entraînement au moment où s’y trouvait la personne infectée ont reçu des « conseils d’isolement appropriés ».
Bien qu’il soit indiqué dans un communiqué que les risques de transmission sont minimes, le gouvernement demande à tous les contacts de subir un test de dépistage pour le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, le 22 octobre, soit 10 jours après qu’ils ont été possiblement en contact avec la personne infectée.

Comme les autorités ne peuvent pas savoir si tous les contacts ont été retrouvés, les avertissements de risques d’exposition dans les deux endroits resteront en vigueur jusqu’au 26 octobre pour le centre d’entraînement et jusqu’au 27 octobre pour le détachement de la GRC.
Comme les autorités ne peuvent pas savoir si tous les contacts ont été retrouvés, les avertissements de risques d’exposition dans les deux endroits resteront en vigueur jusqu’au 26 octobre pour le centre d’entraînement et jusqu’au 27 octobre pour le détachement de la GRC .
Faux positif à la mine Gahcho Kué
Dans un communiqué séparé, le gouvernement ténois avait annoncé mercredi après-midi avoir identifié un nouveau cas présumé à la mine de diamant Gahcho Kué située à environ 300 km au nord-est de la capitale ténoise.

En conférence de presse en soirée, la médecin hygiéniste en chef du territoire, Kami Kandola, a indiqué que des tests de dépistages supplémentaires ont permis de conclure qu’il s’agissait d’un faux positif et que tous les tests des possibles contacts du cas présumé sont aussi négatifs.
Il n’y a donc aucun risque de transmission pour ce cas, ni à la mine ni à Yellowknife d’où provient le travailleur, en conclut Kami Kandola.