Nouveau cas présumé de COVID-19 dans une mine aux Territoires du Nord-Ouest canadiens
Le gouvernement des Territoires du Nord-Ouest a annoncé avoir détecté un cas présumé de COVID-19 chez un travailleur ontarien à la mine de diamants Diavik. Les résultats du test de dépistage doivent être validés en laboratoire avant d’être confirmés.
Selon un communiqué, le vol nolisé ayant transporté le résident de l’Ontario venait du Sud et a atterri directement à la mine, à environ 300 kilomètres au nord-est de Yellowknife.
L’individu et les collègues avec qui il a été en contact ont tous été placés en isolement dans les zones désignées de la mine et ne posent aucun risque additionnel pour le territoire, selon le gouvernement.
Les autorités ténoises disent travailler avec le personnel médical de la mine pour déterminer la suite des choses et envoyer le test de dépistage dans un laboratoire de l’Alberta pour vérification.
Comme la personne atteinte est un travailleur du site minier qui réside en Ontario, les autorités indiquent que, si le cas est confirmé, il ne sera pas comptabilisé au territoire, mais plutôt en Ontario.
Un autre cas avait été confirmé à la mine de diamants fin juillet chez un travailleur venant d’Alberta.
Actuellement, les Territoires du Nord-Ouest ne comptent aucun cas actif. Concernant les cinq cas répertoriés au territoire, ces personnes sont toutes rétablies depuis le mois d’avril.
La minière Rio Tinto, qui opère la mine Diavik, dit tester tous ses employés à leur arrivée et avant leur départ, depuis le mois de mai.
« Comme lors du dernier cas […], les précautions spéciales prévues par les arrêtés de santé publique des T.N.-O. et l’attention supplémentaire manifestée par l’entreprise ont permis de minimiser les expositions », indique le gouvernement.
