COVID-19 : premier décès dans les Territoires du Nord-Ouest au Canada

Depuis le début de la pandémie de COVID-19, les T.N.-O. comptent 351 cas, dont 219 actifs, pour une population de 41 786 habitants. (Véronica LeHuu/Radio-Canada)

Les Territoires du Nord-Ouest dans le Grand Nord canadien ont enregistré, lundi, leur premier décès dû à la COVID-19, depuis le début de la pandémie il y a 17 mois.

C’est l’administratrice en chef de la santé publique des T.N.-O., Kami Kandola, qui a confirmé le décès en présentant mardi ses condoléances à la famille.

« Au nom du gouvernement des Territoires du Nord-Ouest, et de tous les résidents des T.N.-O., nous aimerions offrir nos plus sincères condoléances à la famille et aux proches du résident qui est décédé. », a écrit la première ministre Caroline Cochrane dans le communiqué publié mardi.

Elle a ajouté que « le nombre actuel de cas aux T.N.-O. est un dur rappel que la COVID-19 continue de toucher nos vies et que la situation peut changer rapidement ».

La solution, selon la première ministre, réside dans la vaccination. « Il est important de continuer d’augmenter le nombre de résidents qui se font vacciner. Il s’agit là de notre meilleur moyen de se défendre contre le virus », a-t-elle dit.

Les Territoires du Nord-Ouest avaient signalé un premier cas de COVID-19 le 21 mars 2020. Depuis cette date, ils comptent 351 cas, dont 219 actifs, pour une population de 41 786 habitants.

Selon les chiffres de Radio-Canada, 34 182 personnes ont reçu une première dose de vaccin, et 32 113, une dose de rappel. C’est donc 74 % des personnes âgées de plus de 12 ans admissibles qui sont entièrement vaccinées, et 79 % ont reçu une première dose.

Avec les informations du gouvernement des Territoires du Nord-Ouest

Samir Bendjafer, Regard sur l'Arctique

Samir Bendjafer est détenteur d'un bacalauréat en informatique de l'Université de Bab Ezzouar (Alger) et d'un diplôme en journalisme de l'Université de Montréal. En 1997, il entame sa carrière de journaliste en Algérie en pleine révolution internet dans les journaux , avant le passage au journalisme 2.0 et les médias sociaux. A partir de 2005, Il a travaillé comme correspondant de presse basé à Montréal tout en publiant régulièrement dans les médias locaux montréalais. Sa curiosité et son penchant naturel à aller au-delà des apparences sont à la base de sa passion pour le journalisme.

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